je me suis perdue (pv avec Viktor)

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Voila bientot une heure que je tourne en rond dans cette foret. J'en ai marre. Je commence à me sentir paniqué. J'ai peur. Elle donne la cher de poule cette foret. J'en ai marre de me perdre tout le temps, sa m'enerve. C'est quoi se bruit. Je me retourne brutalement. J'ai entendu un bruit, j'en suis sur il y a quelque chose qui a bouger. Je sors ma baguette.

- Qui est la? Qui est la ?

Je commence vraiment à paniquer. Mon souffle est rapide. J'ai peur. On m'a dit qu'il y a des choses dangereuse dans cette foret. J'ai les larmes au yeux de peur.

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La forêt était un endroit que j'avais toujours apprécié, mais depuis notre arrivée à Poudalrd, je n'avai spas eu l'occasion d'aller m'y promener. Bien que Karkarrof me l'interdisait, car j'étais leur champions, il n'aurait pas toléré que je m'égratigne les moindre bicepse.

Dans la journée l'avais entendu dire que celle-ci était interdite aux élèves, car trop dangereuse. raison de plus pour aller m'y aventurer !

J'attendis l'heure du repas, pour pouvoir être seul, et je traversa le parc en direction de la forêt. De loin elle semblait déjà immense, mais à mesure que je m'en approchais, je m'apercevais de la réelle hauteur des arbres, et de sa dimension exceptionnelle, et cela excitait de plus en plus ma curiosité.

Lorsque je passa enfin les premiers arbres, je me senti immédiatement dans un autre monde. Le chant des oiseaux s'énouissait un peu plus à chaque pas que je faisais en direction du centre de la forêt. Il ne me fallut parcourir que 3 mètres dans cette forêt pour me sentir entièrement ailleurs. En me retournant, les feuillages étaient si épais que je ne distinguait déjà plus le moindre morceau du château, et que je n'entendais plus le moindre son venant du parc.

Tout était calme, étrangement calme, le soleil perçait par endroit la cime des arbres et illuminait quelques feuilles mortes et quelques racines d'arbres sortant du sol. Et l'air se rafraichissait de plus en plus.

Je ne voulais pas trop m'éloigner de l'orée de la forêt, mais il m'était impossible de faire demi tour, mes jambes refusaient de s'arrêter, j'étais si bien. J'aurais pu marcher ainsi pendant des jours ! Mais ma notion du temps s'était complètement envolée, depuis combien de temps je marchais dans cette forêt ? 10 minutes ? Une demi-heure ? 2 heures ?

Jusqu'à présent je n'avait pas eu l'occasion de voir en quoi cette forêt était dangereuse, mais je pensa alors qu'elle pouvait être une de ces forêts qui fait perdre la tête de ses visiteurs, et où l'on devient fou après 2 minutes passées à respirer sa sève.

Soudain une douce voix me cloua sur place.

- Qui est là ? Qui est là ?

Je brandi ma baguette en direction de ce bruit et avança lentement en évitant de faire craquer trop de feuilles sous mes pas. Je fronçais les sourcils pour tenter de mieux voir dans l'obscurité de la forêt. Un craquement juste sur ma droite me fit vriller d'un coup. Derrière cet arbre se trouvait quelqu'un, ou quelque chose...

Je colla mon dos au tronc d'arbre, en tenant ma baguette bien droite devant mon visage. Puis d'un mouvement vif je pivota de l'autre côté du tronc !

- Lumos !!

Ma baguette illuminait quelque chose que je ne reconnu pas tout de suite. Une jeune fille de Beauxbâtons était plaquée entre moi et le tronc d'arbre, ma baguette était plantée sous son menton.

Je retira ma baguette et illumina son visage, la jeune fille était en pleur, et semblait effrayée.

- Parrdonne moi. Non. Ne t'inquiète pas c'est moi, c'est Viktorr. Viktorr Krrum ! J'illumina mon visage pour qu'elle me voit et qu'elle se calme. Tu vois ? Tout va bien, on est ensemble maintenant ! Que se passe-t-il ?

La jeune fille semblait terrorisée, je me demandais si elle n'avait pas croisé une créature féroce. J'espérais que ma présence la rassurerait.

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Je me retourna et on me plaqua contre un mur brutalement avec une baguette sous le menton. Je ne voyais rien, j'avais peur. La personne baissa da baguette, et je vis Krum.

- Parrdonne moi. Non. Ne t'inquiète pas c'est moi, c'est Viktorr. Viktorr Krrum ! Tu vois ? Tout va bien, on est ensemble maintenant ! Que se passe-t-il ?

Je m'eloigna de lui. Il m'avait fais peur et m'avait fais mal au bras. Je me massais le bras pour me soulager.

- Pourquoi tu m'as fait si peur. Je ne sais pas se qu'il se passe, j'ai juste entendu une branche craquer. C'est surement toi. Non? demandais-je l'air inquiète.

J'espèrais réellement que c'etait lui par se que sinon cela signifiais qu'il y avait toujours quelque chose qui rodait autour de nous.

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J'avais dû être un peu brusque avec la jeune fille, car elle se frotta le bras. je ne sentais pas force, et si j'avais su que c'était une élève j'aurais été plus doux.

- Pourquoi tu m'as fait si peur. Je ne sais pas se qu'il se passe, j'ai juste entendu une branche craquer. C'est surement toi. Non ? S'inquiéta-t-elle.

- Je ne sais pas. Peut êtrr. En venant ici j'ai rrien vu. C'étais moi je pense.

Mais alors que je terminais ma phrase un craquement très proche déchira l'air. Je me retourna brusquement et pointa ma baguette allumée vers les feuillages, où des feuilles frémissaient. Mon coeur s'accéléra dans ma poitrine.

- rrreste derrrièrrr moi. Lui dis-je en lui barrant le chemin avec mon bras.

Je m'approcha des feuillages silencieusement, en l'éclairant avec ma baguette. Puis d'un coup, de mon autre main, je dégagea soudainement un branche feuillue du buisson. Effectivement, nous étions en danger ici.

Je recula d'un pas en découvrant la chose qui nous épiait...

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Il avait l'air mal à l'aise. Puis en entendit encore un bruit.

- rrreste derrrièrrr moi.

J'avais peur, je tremblais. Cette foret est vraiment horrible. Viktor s'approcha du feuillage et deplace la feuille. Il laissa apparaitre une araignée geante. Enfin, geante, plus grosse que la moyenne, style, qui monte jusqu'au genoux. Je me mis a hurler. J'avais si peur et je me mis a courir sans regarder derrière moi.

- Attends!!!!!!! entendis-je derrière moi.

Mais mon pied se pris dans une branche et tomba, encore une fois. Lorsque je me retourna pour voir derrière moi, je me retrouva face à une araignée. Je me mis encore a crier et protega mon visage avec mes mains.

-Expelliamus

J'entendis un couinement et retira mes mains de mon visage. L'araignée etait partie. J'etais terrorisé, je tremblais

-Merci, Viktor, j'ai paniqué.

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L'araignée faisait claquer ses deux mandibules l'une contre l'autre, ses dizaines d'yeux brillaient et ses pattes velues, commençaient à s'agiter.

- Ne bouge pas, lui dis-je doucement en me retournant lentement vers Leslie. Mais elle venait de filer en hurlant, je cria :

- Attends ! mais il était trop tard, la fuite de Leslie avait aiguisé l'instinct de chasseuse de l'araignée, qui venait de quitter le feuillage et qui courait maintenant vers elle à une vitesse incroyable, en passant devant moi, comme si je n'étais qu'un arbre.

Je me mis à courir en sautant par dessus des racines folles, en me baissant pour éviter les branches basses, en lançant des sortilèges pour repousser les feuilles de plantes venimeuses.
- Incendio !!

Je courait derrière l'araignée, qui pourchassait Leslie. Avec ses huit longues pattes, elle semblait glisser sur les obstacles qui parsemaient le chemin, mais ma puissance et ma détermination faisaient que l'espace entre nous se rapprochait, comme il se rapprochait entre Leslie et l'araignée. Je ne pouvais viser l'araignée dans ma course avec des sorts, j'avais trop peur de toucher Leslie.
Enfin, l'araignée ralenti un peu sa course, peut être avait-elle perdu Leslie de vue ? Je ne la voyais plus moi-même ! Il était temps de lancer un sortilège pour en finir.

- Expelliarrmus !! Ah ce moment là j'entendis un hurlement terrible de Leslie. L'araignée se raidie immédiatement et bondit sur le côté en couinant, avant de fuir dans l'épaisse végétation.

Leslie était en faite tombée, et il aurai suffit d'une seconde de plus pour que la créature ne la morde mortellement. Elle était dans un état de choc, elle tremblait si fort que ses mots étaient saccadés :

- Merci, Viktor, j'ai paniqué.

Je l'aida à se relever, son visage était couvert d'égratignures, et ses mains étaient noircies d'un mélange de terre et de sang.

- Elle va rrrevenirrr, dis je en scrutant précisément les alentours. Ne rrestons pas là !

Nous reprîmes notre route. J'étais essoufflé par la course folle, mais je restait très attentif aux mouvements et au sons que l'on entendait.
- Tout à l'heure je savais où on était mais maintenant nous somme vrrraiment perdus !

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J'etais paniqué. Il avait raison, elle allait revenir et par ma faute je nous avais perdu. J'etais tellement honteuse mais les araignées etaient l'aparence que prenais mon epouventard. J'avais si peur quand j'etais devant se genre de bestiole.

- Comment on va faire. Cette foret est si dense. On ne voit pas le soleil et il y a plein de broulliard.

Je regarda ma montre.

- De plus ils ne nous reste que 1 heure avant le coucher du soleil.

Je me mis a reflechir , il fallait trouver un moyen de prevenir quelqu'un mais comment.

- On pourrais peu être lancer un sort pour prevenir quelq'un?

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Nous pouvons lancer des étincelles, mais ainsi nous ne pourrions pas prévoir qui nous découvrirait. Si par malheur un professeur apprenait que nous étions dans la forêt, nous risquions gros. D'autant plus que le directeur ne cesse de répéter que cette forêt est interdite.

Prévenir quelqu'un n'était pas une solution. A l'heure qu'il était tout le monde devait diner dans la grande salle, seul Rusard devait trainer aux alentours du château à la recherche d'élèves à torturer.

Le sort des quatre points était inutile dans ces circonstances. Car nous ne savions même pas dans quelle direction nous nous trouvions par rapport au château.

Soudain j'écarquillai les yeux. Si je faisais venir un objet tout droit de Poudlard, nous pourrions ensuite connaitre la direction à prendre pour retourner au château. Mais oui ! La solution était là. Je réfléchissais à toute vitesse, en m'appuyant contre un arbre.
L'objet traverserait le château, et flotterait jusqu'à nous. S'il était vu par quelqu'un nous serions démasqué. Il était impossible de le rendre invisible. Je réfléchissais encore, en prenant ma tête entre mes mains... un petit objet... il pourrait quand même être vu. Il faudrait attendre le coucher des élèves...

Soudain je sentis dans mon dos que le tronc auquel je m'appuyais bougeait. Je sauta en avant et pointa ma baguette sur lui. Ce n'était qu'un scarabée géant, qui dévalait le tronc avant de disparaitre dans les racines du grand arbre.

Nous devions partir d'ici au plus vite. Je me mis à réfléchir encore, mais cette petite frayeur m'avait inspiré.

- C'est ça !

Je me tourna vers Leslie qui était toute crispée. Je posa mes mains sur ses épaules et lui dit d'une voix qui se voulait rassurante :

- Écoute. Je sais comment nous allons sortirrr d'ici. Pour éviter que Leslie ne se réjouisse trop vite, j'ajoutai précipitamment :

- Mais il faudrrra attendrrre que la nuit noirrre arrive. J'ajouta en la secouant légèrement, Sais-tu à qu'elle heure les élèves de Poudlard rejoignent leurs dortoir ?

Puis je la lâcha et scruta les environs en pointant ma baguette allumée vers la noirceur de la forêt.

- Trrrrouvons-nous un coin où nous pourrrrons patienter.

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Il voulait quoi!!! Il voulait quoi!!! Rester ici jusqu'à la nuit. hors de question. Mais je finis pas me calmer. Il devait savoit se qu'il faisait. Il etait le favori de Dumstrang. Je le suivais sans rien dire. Nous finimes par sa cacher dans le creux d'un arbre. Mais pourquoi ne suis-je pas avec Cedric. Je m'assis à côter de lui et me blottis contre lui. Je ne sais pas pourquoi mais psychologiquement être coller à lui me donnais un sentiment de securité. Mais cela été debile car si j'etais à deux centimètre de lui cela serait la même chose. Je n'arretais pas de penser à Cedric. Pourquoi ne suis-je pas rester avec lui dans ses bras près du feu. j'avais toujours aussi peur et il commençait à faire froid. Je me tourna vers Viktor.

- J'espère sincèrement que tu sais se que tu fais.

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