Rose Simpnie

~ Nom ~ : Simpnie

~ Prénom ~ : Rose

~ Âge ~ : 15 ans

~ Baguette ~ : Bois de rose et crin de licorne

~ Miroir du Riséd ~ : Albus Dumbledore me remettant la coupe de la meilleur élève.

~ Epouvantard ~ : Albus Dumbledore mort

~ Maison espérée ~ : Serdaigle

~ Description physique ~ : Rose est assez petite, 1m55 environ. Elle est très fine mais pas anorexique quand même. Elle a de très longs cheveux blonds, elle y a fait des mèches roses pour donner une touche de couleur dans ses cheveux. Ses yeux sont marrons naturels, mais elle aime bien changer la couleur de ses yeux. Un jour bleu, un autre violet. Question vêtements Rose porte toute les couleurs mais vous ne la verrez jamais porter du noir sinon c’est qu’il y a un mort.

~ Caractère ~ : Le cœur de Rose est tendre. Elle éprouve facilement de la sympathie et de la commisération pour les faibles, les infortunés, les délaissés, les opprimés. Rose ressent le malheur des autres comme si c'était son propre malheur. On la voit parfois participer à des œuvres caritatives, sans se soucier de son confort ou de sa santé. Rose aime aussi rendre service et faire plaisir à son entourage. Voilà bien sa devise de vie. Sa serviabilité est rarement intéressée. En effet, elle se sentira plutôt embarrassée si on la remercie ou cherche à la payer en retour. Rose est parfois considérée comme "faible". Dire "non" exige d'elle un effort considérable qu'elle a horreur de faire.

~ Passé du personnage ~ :

Chapitre 1 : Les coups et les bleues

-Prend sa et ça

Du matin au soir mon père me bâtait, avec les mains et des fois il prenait les objets qu’il avait sous la main et me frappait avec. A chaque coup que je recevais j’entendais ma belle-mère rigoler, en me regardant avec un air sadique qui me faisait froid dans le dos. Alors quand je savais qu’il allait me battre, je me roulais en boule et je serrais fort contre moi un livre ou une photo de ma mère. Il me frappait souvent à cause du mauvais travail que j’avais fait, ou bien de mes livres qui trainaient encore dans la chambre, ou encore simplement pour faire plaisir à belle-mère.
Ma véritable mère est morte alors que j’avais cinq ans, je n’oublierais jamais son doux sourire et ses mots gentils qu’elle me disait le soir avant que je m’endorme. Quand ma mère était encore en vie mon père n’osait pas me toucher, il ne me parlait même pas et il n’osait même pas lever les yeux vers moi quand j’étais dans la même pièce que lui. Quand ma mère mourut, j’ai eus du mal à y croire, je pleurais sans arrêt. Ce qui me rendait le plus triste c’était de voir mon père qui ne pleurait même pas, et pire, qu’il allait draguer d’autres femmes. D’ailleurs même pas une semaine après la mort de maman, la nouvelle copine de papa qui allait devenir ma belle mère un mois plus tard, s’installa chez nous. C’est a partir du moment où elle est arrivé chez moi que les coups commencèrent à me tomber dessus. Quand il avait fini de me frapper, il me laissait là sur le sol, des fois avec quelques blessures qui saignaient, alors je me levais tant bien que mal et j’allais dans ma chambre. Je poussais mon lit, je soulevais une planche ou se trouvait tout ce qu’il me fallait pour me soigner. Quand j’eus 7 ans, alors que mon père venait tout juste de me battre à cause de ma mauvaise cuisine, je commença à sentir une chaleur monter en moi, ma respiration se diminuer. J’avais mal, pourquoi j’avais du mal à respirer, je rampa jusqu'à ma chambre. Ouvris avec difficultés ma fenêtre, mit la tête dehors et essaya de respirer à nouveau normalement. Je réussis au bout de quelques minutes. J’appela le médecin, il me donna rendez-vous le lendemain vers le début d’après-midi.
Le lendemain à l’heure prévue, je me rendis chez le médecin seule, avec un peu de sous dans ma poche pour le payer. Arrivée chez le médecin, il me consulta aussitôt et en conclut après quelques minutes d'auscultation et de discutions que j’avais fait de l’hyperventilation. L'hyperventilation est une réduction du gaz carbonique dans le sang causée par une respiration rapide et saccadée. Cette chute de gaz carbonique affecte plusieurs systèmes de l'organisme et cause des symptômes variés. L’hyperventilation est une réponse normale au stress. Nous en subissons presque tous les effets lorsque nous faisons face à une situation inhabituelle ou après une session intensive d'exercice. Elle peut se produire en quelques secondes, sous une forme aiguë et souvent spectaculaire, mais elle peut aussi être chronique. On parle alors du syndrome chronique d'hyperventilation. Elle me demanda si, il se passait quelque chose qui pourrait déclencher ces crises, je n’ai pas eut d’autre choix que de me confier et de tout raconter. Vous ne savez pas quel poids j’enleva ce jour là en raconta tout au médecin, je pleura beaucoup en racontant ça, ce jour là. Après, elle appela des gens qui s’occupent des enfants qui sont maltraités comme moi. Ils arrivèrent un quart d’heure après l’appel du médecin. Après deux longues heures de discutions, les personnes qui étaient venues m’emmenèrent avec eux, je monta dans leur voiture. Je leurs indiqua ou j’habitais, il me demanda de rester dans la voiture et de bien fermer les portes.
De la voiture j’entendis des cris, des objets se casser, des menaces étaient prononcées et moi je pleurais. Pleurais de peur, que mon père me fasse sortir de cette voiture et me tue. J’ai toujours pensé qu’il me tuerait un jour, qu'à force de me frapper, il me tuerait, je le voyais bien cacher mon corps dans le jardin et dire à tout le monde que j’avais fugué ou été enlevée. Ils ne restèrent que dix minutes à discuter, puis les personnes qui m’avaient emmenées remontèrent dans leur voiture, et démarrèrent. Pendant le tout le trajet c’était silence. Je ne savais pas où ils m'emmenaient et cela me faisais peur, très peur. Après plusieurs minutes qui me semblèrent des heures, ils arrêtèrent la voiture devant un orphelinat. Ils me firent descendre de la voiture avec eux.

-Rose, tu vas habiter ici maintenant

- Mais, mes parents

- Ils ne veulent plus te revoir, ils m’ont dit qu’ils continueraient à te frapper si tu restais. Donc on a décidé de t’emmener ici.

- Merci

J’entrai dans l’orphelinat, ces personnes à coté de moi. Je savais que le premier chapitre de ma vie venait de se finir, pour laisser place au deuxième chapitre de ma vie.

Chapitre 2 : La route du Bonheur

Je vécus des moments des plus heureux dans cet orphelinat, les enfants était très gentils avec moi, en plus j’étais contente car j’étais la plus vielle et donc ils avaient du respect pour moi. Étant la plus vielle de l’orphelinat, j’avais souvent des responsabilités comme surveiller les petits, les aider à manger leur soupe, leur lire une histoire avant de dormir et même aider les adultes à préparer à manger et à faire les lits. Même si j’avais beaucoup de boulot à l’orphelinat, j’étais contente, car personne ne me frappait et je ressentais enfin l’amour d’une vraie famille, enfin façon de parler. Le jour où j’eus ma première apparition de pouvoir ce fut le jour de mon adoption. Deux hommes avaient observés la scène en souriant. La directrice de l’orphelinat arriva quelques secondes après mon moment de magie, elle ne su donc rien. Elle fut juste étonnée de voir la fleur en si bonne santé. J’ouvris la bouche pour lui expliquer mais l’homme de droite, plus grand que l’homme de gauche et aussi plus musclé me fit signe de ne rien dire.

- Je vous présente Rose, dit la directrice. Rose voici Roberto et Jason.

Donc l’homme de droite, celui qui m’avait demandé de me taire s’appelait Roberto. Il avait les cheveux noirs avec de magnifiques yeux bleus clair comme du cristal ou comme un ciel sans nuage, bien dégagé. L’homme de gauche s’appelait Jason, il avait des dreads un peux de toutes les couleurs, ça lui allait bien avec son piercing sur la narine gauche. Il portait des vêtements un peux punk contrairement à Roberto qui portait des vêtements plus tôt look motard.

- Enchanté de faire ta connaissance Rose. Roberto me tendis la main que je serrai en souriant.

- Nous aimerions beaucoup être seules avec cette enfant Delphine. Dit Jason

- Bien sur je comprends.

Ils attendirent que Delphine sorte de la pièce pour me parler. Ils allaient surement me parler de ce qu’ils avaient vue tout a l’heure avec la fleure.

- Tu as vue, je savais qu’on en trouverait une.

- Tu avais raison je l’avoue, c’en est une et une vraie

- Une quoi ?

- Une sorcière

Après une longue conversation, il réussi à me convaincre que les sorcières et les sorciers existaient. Roberto sorti même une baguette en bois pour lancer un sort à ma fleur pour que l’eau coule. Si j’avais bien tout comprit, j’étais une sorcière née de parents moldus (personne ne faisant pas de magie) allant être adopté par un couple de sorcier étant tout deux des hommes. Est-ce que j’avais tout suivis ou j’avais loupé un détail, dites-le moi tout de suite le temps que je prenne ce moment pour un rêve. J’eus beau me pincer, je sentais la douleur et pourtant j’étais toujours dans ce rêve incroyablement beau. Un mois après avoir discuté avec ces deux jeunes hommes, ils revinrent mais cette fois pas pour me parler, mais pour m’emmener avec eux. J’allais m’appeler maintenant Rose Simpnie et j’allais vivre dans un monde où existe magie, potion et créatures magiques. En grandissant j’appris plein de truc sur la magie et sur ma mère qui était cracmol. A mes onze ans, j’alla à Poudlard une école pour apprendre la magie.


~Partie RP ~:
Voila maintenant plus deux mois que je me trouvais dans cet orphelinat. Tous les enfants étaient très gentils avec moi. Il y a peu de temps on a fêté mon anniversaire, j’avais oublié cette magnifique fête depuis la mort de ma mère. Les enfants de l’orphelinat avaient économisés leur argent pour m’offrir une magnifique rose blanche. J’en pris soin chaque jour qui passa, je l’arrosai avec précaution, je lui parlais de ma journée. Mais un jour elle perdit sa première pétale. Delphine, la Directrice de l’orphelinat, me dit que c’était comme les cheveux de temps en temps ils partaient comme ça. Je la cru au début, mais les jours qui suivirent la fleur fana peu à peu. Jusqu’à ce que la fleur soit complètement morte. Je pleura beaucoup ce jour là. Je pris le pot dans ma main pour montrer la fleur à Delphine, mais soudainement la fleur se mit à revivre sous mes yeux. Quand je leva les yeux je remarqua deux personnes devant qui m’observaient en souriant. La suite dans mon chapitre 2.