Le violon chante (Pv:Albus Dumbledore)

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Après une dure une dure journée, je méritais bien un peu de détende. Comme j’avais du temps avant le diner, je descendis dans les cachots. Je longea le couloir pour me retrouver devant un grand tableau. Un coup d’œil sur la droite, un autre sur la gauche,… Rien, pas un son, pas un bruit de pas, sans plus attendre je chuchota presque le mot de passe pour pouvoir entrer dans la salle commune. La salle était remplie par quelques élèves de 2ème et de 3ème années, je ne fis guère attention et me dirigea vers mon dortoir. Monta les marches quatre par quatre, marcha jusqu'à mon lit, ouvris ma valise et sortie un étui de violon. D’un geste mais néanmoins élégant je pris l’étui de violon et l’emporta avec moi. Je descendis cette fois ci l’escalier, repassa devant les élèves, pris le couloir mais cette fois ci en sens inverse pour me retrouver dans le hall rempli par différents élèves, de différentes années et de différentes maisons. Je me dirigea vers la grande porte, arrivée sur le seuil de l’entrée, je me mis à chercher des yeux un endroit calme ou je pourrais jouer. Je trouva pas loin un endroit calme, un peu caché par des buissons, en clair un endroit parfait pour jouer. En plus je ne voyais pas d’élèves a l’horizon, j’alla m’y installer. Par chance pour moi il y avait un petit banc où je pu poser mon étui. J’enleva mes gants pour pouvoir mieux jouer et mieux apprécier ce moment. Je sortie le violon de son étuis, pris le violon entre mains et puis je me mis à jouer sans plus vouloir m’arrêter.

Spoiler:

Je me promenais dans le parc comme chaque jour avant le diner, trainant au bord du lac, les bras croisés dans le dos, errant sur la pelouse verdoyante du parc, lorsqu'un léger son mélodieux, doux et fluide arriva, porté par la brise, jusqu'à mes veilles oreilles.
Il s'agissait du doux son d'un violon dont on frotte les cordes. Comme c'était doux, et agréable ! Pour une fois qu'un élève produit un son autre qu'un chahut. Il n'était pas habituel d'entendre du violon dans le château, en dehors des fêtes.

Je tenta de me diriger à l'oreille, pour tenter de retrouver d'où venait cette musique, et j'arriva tout près d'un buisson.
Juste derrière, une élève de Serpentard tenait un violon, coincé contre son menton et son épaule et effectuait d'amples mouvements avec son coude. C'était elle la musicienne, de dos je ne parvenais pas à savoir qui elle était, mais cela m'était égal, le plus important était qu'elle jouait divinement bien.

J'attendis qu'elle eut terminé son morceau, pour ne pas déranger son entrainement. Je resta donc silencieux derrière elle, les yeux fermés, tentants de ressentir les nuances de la mélodie, une main battant le rythme dans l'air comme une feuille tombant d'un arbre. La mélodie m'emporta dans des rêveries, mais je fut soudainement forcé de revenir sur terre lorsque la mélodie prit fin.

Instantanément, l'applaudit la musicienne, elle se retourna brusquement et sursauta en me voyant.
Je reconnu aussitôt la si gentille Ayumie Angel, je lui souri et dit :

- Je vous prie de bien vouloir pardonner mon indiscrétion Miss Angel, je n'ai pu m'empêcher de vous écouter jouer.

Je marqua un petit temps, en m'avançant un peu, avant de reprendre :

- Je connais de très bon musiciens, et je suis épaté par votre talent, surtout pour votre age.

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Je fermais les yeux, tout en jouant, je ne pouvais m’empêcher de rêver, de penser. Me remémorer tant de choses sur ce violon, comment ma mère me l’avait donné, la première ou j’en avais joué devant un public et quand j’avais joué devant des sorciers. Toutes ses choses tourbillonnaient dans ma tête, comme une tempête. Lorsque j’eut joué la dernière note, je releva le menton et alors que j’allais poser le violon sur le banc j’entendis le bruit deux mains se frappant l’une dans l’autre, autrement dit un applaudissement. Je fut tellement surprise par le bruit que j’en allait presque lâcher mon violon.

- Je vous prie de bien vouloir pardonner mon indiscrétion Miss Angel, je n'ai pu m'empêcher de vous écouter jouer. Je
connais de très bons musiciens, et je suis épaté par votre talent, surtout pour votre âge.

J’était confuse sur le coup, je sentie mes joue commençais à être en feu, si je pouvais me voir dans une glace je verrais surement deux joues toute rouge. Je posa mon violon avant de lâcher sur le coup.

- Merci beaucoup professeur, ce compliment me vas droit au cœur.

Je laissa un temps, le temps de poser parfaitement mon violon dans étuis et remettre mes gants le plus vite possible.

- Que faites vous de si bon matin, professeur ?

La jeune fille devint toute rouge, et elle s'adressa à moi timidement :

- Merci beaucoup professeur, ce compliment me vas droit au cœur.

Son talent était certain, et je trouvais adorable qu'elle soit aussi gênée. Je souriais en regardant ses petites mains de musicienne ranger délicatement le violon dans son étui.

- Que faites vous de si bon matin, professeur ?

Je me tenais les mains derrière le dos, et m'avança un peu vers le buissons qui faisait face au banc. De l'autre côté s'étendait un panorama magnifique. Le ciel se reflétait dans le lac, comme un miroir lisse, on aurait dit que deux ciels se faisaient face. Un vent glacé soufflait dans ma robe de sorcier et ma barbe flottait lourdement dans les rafales de vents.

- J'aime me promener dans le parc à différentes heures de la journée. Poudlard est ma maison, et j'aime cet endroit. Je marqua un temps pour observer le paysage qui s'étendait devant moi à perte de vue. Su le lac, le bateau de Durmstrang tanguait légèrement, le château était couvert de neige, et le bâte Ayumie laissa son étui de violon sur le banc de pierre et vint me rejoindre. Elle observa le paysage avec moi.
- Ne trouves-tu pas que c'est reposant ?

Je pris une grande inspiration, et ferma les yeux un instant. Puis je me retourna vers Ayumie et lui dit en souriant :

- Tu as l'air de beaucoup tenir à ton violon, il doit représenter beaucoup pour toi ?

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- J'aime me promener dans le parc à différentes heures de la journée. Poudlard est ma maison, et j'aime cet endroit

- Si, cela est très reposant professeur.

Je regarda le paysage, on dirait presque carte postal magique. Le vent soufflé dans mes longs cheveux roux, un vent doux et agréable pour ma part. Je ferma les yeux quelques secondes, respira doucement, je sentait mon ventre gonfler et dégonfler a chaque inspiration et expiration. Soudain la voix du professeur m’obligea un peux a rouvrir pour le regard droit dans les yeux.

- Tu as l'air de beaucoup tenir à ton violon, il doit représenter beaucoup pour toi ?

Avant de répondre, je ne put m’empêcher de jeter un léger coup d’œil sur l’étui à violon ou se trouver mon violon.

- Oui, j’y tien beaucoup comme la prunelle de mes yeux. Ma mère me la donner pour fêter mes huit ans avant je ne faisait qu’emprunter le sien. C’est comme grâce a un violon que ma mère a sut que j’ai été comme elle une sorcière. C’est incroyable il suffit d’un simple violon comme celui-ci pour faire une magnifique mélodie.

Je laissa un temps, un temps pour observer le paysage.

- Oh pardon je commence à peine à parler et me voila partit à raconter ma vie. Je suis désolé.

Bizarrement sa me faisait bizarre de raconter ma vie a quelqu’un comme je n’avais jamais eut d’amis donc je n’avais parlé de ma vie a qui que se soit. Alors parler aussi facilement a quelqu’un sa me fait bizarre.

La petite Ayumie ressemblait à une poupée dans ce paysage coloré. Ses cheveux couleur rouille, lisses et fins flottaient dans le vent avec grâce. Pendant qu'elle parlait, ses joues de porcelaines virèrent subitement au rouge écarlate. La jeune fille baissa son regard bridé vers le sol et s'excusa de parler d'elle. Je fus ému de la voir dans cet état, elle n'avait, selon moi, aucune raison de se sentir mal à l'aise. Je tourna la tête vers le paysage face à moi, pour ne pas gêner encore plus la fillette, et dit avec sérénité :

- Tu n'es pas obligé de me parler Ayumie, si tu veux garder ta vie privée pour toi toute seule, c'est ton droit le plus précieux, je ne t'obligerais jamais.

Je m'imprégna du paysage au maximum, en respirant profondément, comme pour fixer à jamais cet instant où le monde semblait figé. Puis, je fis un demi-tour sur moi même. Le vent soufflait maintenant dans mon dos, et de longues mèches argentées flottaient devant mes yeux. J'alla m'installer sur le banc de pierre tout en prenant soin de l'étui, que je plaça sur mes genoux. Sans m'en rendre compte je caressais le dessus de de la boite lisse et vernie, dans laquelle se trouvait le violon d'Ayumie.

- Un thé chaud te tenterait ? Oh ! Et puis il me reste de ces Croissants que madame Maxime à apporté de France. Ils sont délicieux...

Sans détacher mes yeux de la longue boite arrondie, je sorti ma baguette et fis un mouvement arrondis avec mon poignet en prononçant haut et fort "Accio Plateau".

- Il y a des choses que la magie ne peux offrir, tu vois ce que je veux te dire Ayumie ? J'observais son visage de poupée un instant, elle semblait m'écouter avec attention. Regarde ce violon, je pourrais très bien le faire jouer tout seul pour profiter de sa mélodie, mais vois-tu, je ne profiterais que du résultat et ne pourrait ressentir le bonheur de créer ce son. Je lui souris avec délicatesse. Tu as ce don Ayumie, j'espère que tu es conscient.

Je posa mon regard sur l'étui et inspira profondément.

- Comme j'aimerais connaitre ce bonheur de faire glisser l'archet sur les cordes pour créer une mélodie...

A cet instant, le "cling cling" d'un plateau de métal se fit de plus en plus présent. Une planche argentée soutenant deux tasses fumantes, une tellière et une assiette de croissants flotta jusqu'à nous en tremblotant dangereusement.

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- Tu n'es pas obligé de me parler Ayumie, si tu veux garder ta vie privée pour toi toute seule, c'est ton droit le plus précieux, je ne t'obligerais jamais.

-c’est gentil, professeur.

- Un thé chaud te tenterait ? Oh ! Et puis il me reste de ces Croissants que madame Maxime à apporté de France. Ils sont délicieux...

- Sa serait avec plaisir professeur.

- Il y a des choses que la magie ne peux offrir, tu vois ce que je veux te dire Ayumie ? Regarde ce violon, je pourrais très bien le faire jouer tout seul pour profiter de sa mélodie, mais vois-tu, je ne profiterais que du résultat et ne pourrait ressentir le bonheur de créer ce son. Tu as ce don Ayumie, j'espère que tu es conscient.

Ces mots si doux, si pur, jamais quelqu’un ne m’avais dit sa et sa me toucher beaucoup. J’en avais presque les larmes aux yeux. Je passa ma main sur mes yeux, pour enlever deux petite gouttes larmes qui c’était tenue au coin de mes yeux. Même ma mère ne m’avais pas dit de chose aussi belles.

- J’en n’est conscient professeur. Je sais que ce don, a quelque de chose de plus que la magie.

- Comme j'aimerais connaitre ce bonheur de faire glisser l'archet sur les cordes pour créer une mélodie...

Un plateau arriva, ou se trouvait notre boisson et nos croissants. Je m’assis a coter du professeur Dumbledore.

-Si vous voulez professeur, je pourrais vous apprendre. C’est très facile, vous savez. D’ailleurs je sais jouer toute sorte d’instrument comme le piano et même de la cornemuse. Faut dire que j’ai eut tout le temps pour apprendre sa, moi qui suis toujours resté chez moi enfermer, j’ai eut le temps d’apprendre tant de chose qu’on n’apprend pas dans une école.

Je serra mes mains ganter puis prit mon thés bien chaud et but quelque gorgés.

Seuls quelques mots se détachaient de ses paroles "piano", "cornemuse".

Je me vit soudain, dans une chaude rêverie embuée, faisant glisser mes doigts sur des touches de piano, puis soufflant dans une cornemuse pour jouer un morceau dansant. Cela aurait été une chose magnifique que d'apprendre la musique. J'en rêvait depuis longtemps, et cette jeune fille me proposait gentiment de m'essayer à l'art de la musique. J'en oublia presque, la tasse de thé qui flottait en apesanteur devant moi.

- Tu as souffert de ne pas être beaucoup sorti étant plus jeune, cela t'as pourtant apporté une grande richesse. J'attrapa la tasse fumante et l'entoura de mes paumes. On n'apprend parfois plus de la vie en observant de loin ce qui se passe autour de nous. Tu es quelqu'un de riche Ayumie, plus que nombre de tes camarades, et plus que tu ne l'imagines... Ne te dénigre jamais !

Je me tourna vers elle et fut amusé de la regarder souffler sur son thé, puis se bruler les lèvres sur la faïence.
- Ne bois pas trop vite, tu pourrais te bruler.

Je retourna à ma propre tasse, et observa le liquide brun et translucide qui miroitait entre mes mains. De petites vaguelettes à la surfaces faisaient vibrer le reflet du ciel, mes mains tremblaient de froid. Une fumée blanche s'en 'élevait en ondulant, je souffla dessus et la fumée se dissipa, répandant une senteur fruitée autour de nous.
Je ne voulais pas embêter la jeune fille, elle avait surement énormément à faire déjà, avec ses devoirs, ses propres entrainements de musique, ses amis. J'étais tenté d'accepter son invitation à m'enseigner la musique, mais je devais penser plus à son bien être à elle, qu'à mon plaisir personnel.

Je l'observa boire son thé, et lui tendis un Croissant.

Puis je me mira dans le reflet de mon thé qui fumait de moins en moins. Je voyais mon vieil œil, entouré de ridules, se refléter dedans, puis soudain cette vision se voila. Maintenant je me voyais moi, un violon entre le menton et l'épaule, jouant gaiment un air. Mon rêve était à porté de mains, mais je ne devais pas le saisir, le bonheur de mon élève était bien plus important.

Invité

- Tu as souffert de ne pas être beaucoup sorti étant plus jeune, cela t'as pourtant apporté une grande richesse. On n'apprend parfois plus de la vie en observant de loin ce qui se passe autour de nous. Tu es quelqu'un de riche Ayumie, plus que nombre de tes camarades, et plus que tu ne l'imagines... Ne te dénigre jamais !

- C’est vrais sa ma apporter bien des choses.

Je regarda la forme de la tasse, sa couleur et ses dessins dessus. Puis je souffla doucement, puis je posa mes lèvres sur le bord de la tasse, je la penchant légèrement pour faire glisser le thé vers ma bouche. Mais à peine le liquide chaud toucha mes lèvres, je sentit une chaleur, me bruler mes douce lèvres. Je retira la tasse, loin de mes lèvres.

- Ne bois pas trop vite, tu pourrais te bruler.

- Je crois que c’est déjà fait. Dit-je sur un ton amusent.

Je souffla plus longtemps sur ma boisson espérant qu’il se froidisse, car comme même se bruler deux fois de suite sa serait vraiment pas de chance. Je recommença mon manège, mais cette fois ci la boisson était bien chaude qu’avant je but quelques gorgés sans me bruler. Qu’elle délicieux thés, je n’en avait bue d’aussi bon. Avant de complimenter ce thé Dumbledore me tendis un croissant. Je le prit de ma main libre qui ne tenait pas la tasse et croqua un bout dedans. C’était la pâtisserie la plus délicieuse et la plus moelleuse que je n’avais jamais mangé.

- Professeur ce thé est délicieux et se croissant est parfait.

Je regarda l’étui de mon violon, tien d’ailleurs il n’avais pas répondue a ma question. Je lui fit remarquer.

- Alors Professeur vous voulez ou pas que je vous apprenne à jouer de la musique ?

Ayumie reposa sa question, et cela me laissa béat. Voulait-elle vraiment me donner un cours ? Bien entendu que je voulais prendre des cours... mais à mon age... des cours donnés par une élève de mon collège qui plus est !
Je ne pouvais vraiment pas accepter. Pendant de longues minutes je resta assis à contempler le paysage, mes doigts se baladant sur l'étui verni, en pensant à ces heures de cours qui me faisaient rêver depuis toujours. Je me demandais si oui où non je devais accepter son offre. Quelle réponse était la plus sage ? Surement pas celle que je donna :

- Je n'ai plus l'âge pour apprendre ces choses, Ayumie.

C'était une mauvaise raison, j'en étais entièrement conscient, alors j'ajouta :

- Cela risquerai de te prendre beaucoup de temps, et tu as tes cours, tes amis... sans compter que j'ai une école à faire tourner.

Il y eut un long silence. Puis, après mûre réflexion, je me tourna à nouveau vers elle, et lui dis en souriant :

- Si tu parviens à trouver un moment où nos emplois du temps sont libérés en même temps, alors peut être que j'accepterai. Mais à la seule condition que cela ne nuise pas à tes études, Ayumie.

Invité

Je resta là en silence, regardant le paysage mangeant qu’elle gâteau et buvant tranquillement mon thé en faisant attention a ne pas me brule cette fois. J’aimerais bien avoir un grand-père comme lui, sage et gentil. Et puis il était toujours prêt à écouter les gens. En gros il a tout les qualités de l’homme parfait.

- Je n'ai plus l'âge pour apprendre ces choses, Ayumie. Cela risquerai de te prendre beaucoup de temps, et tu as tes cours, tes amis... sans compter que j'ai une école à faire tourner. Si tu parviens à trouver un moment où nos emplois du temps sont libérés en même temps, alors peut être que j'accepterai. Mais à la seule condition que cela ne nuise pas à tes études, Ayumie.

- Ne vous inquiéter pas professeur et puis si je vous propose c’est mon emploie du temps me le permet. J’ai hâte de vous apprendre à jouer, le plus drôle c’est que sa va être moi le professeur et vous l’élève.

En imaginant la scène je ne put m’empêche de rigoler, je sur que des gens paieraient chère pour voir la scène. Combien, je pourrais en tirer ? Je rigole, bien sur, vous croyez comme même pas que vais laisser des gens me payer pour voir le professeur Dumbledore jouer l’élèves et moi le professeur.

- Quand seriez-vous libre professeur, pour commencer notre première leçon ?

Elle me fit remarquer que je prendrais la place de l'élève et elle du professeur. Il était vrai que cela était étrange, mais je prenait ça comme une leçon de vie pour Ayumie, et pour moi même, qui n'avait plus été élève depuis bien des décennies... Cela la fit rire, et son rire devint contagieux, jusqu'à ce qu'elle me demande de choisir la première date de notre rendez-vous.

- Hé bien laisse moi réfléchir... Je fronça les sourcils et touilla mon thé avec un morceau de croissant, en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre. - Hum... je suis bien occupé tout le temps. Et à vraie dire, le seul moment de répit que j'ai, je le passe ici, à cette heure là, chaque jour.

Mon bout de croissant s'était totalement disloqué dans mon thé, qui formait maintenant une bouilli peu ragoutante.

- Ohhh ! Je peux bien me priver pendant un petit moment de ma petite promenade ! Dis-je en reposant ma tasse sur le plateau qui flottait toujours près de nous.

- Cet horaire te convient-t-il Ayumie ?

Je me demanda combien de temps il me faudrait pour pouvoir jouer parfaitement d'un instrument. Cela devais probablement dépendre de l'instrument lui-même.

- C'est un endroit parfait pour jouer de la musique, ne trouves-tu pas Ayumie ? Oh bien entendu s'il fait trop froid nous nous installerons bien confortablement près d'une cheminée. Mais moi, je rêverais de faire voler mes notes de musiques au delà de ces montagnes ... A ces mots, je désigna de la main l'étendue du paysage où des collines se chevauchaient, et s'estompaient avec leur distance.

Invité

Le professeur se mit à rire, son rire est doux et je dirais même sucrer, vous trouvez sa peut être bizarre mais c’est comme ça que je voyais son rire doux et sucrer comme un bonbon. Ma définition de son rire était de plus en plus étrange même pour moi, c’est peut être le thé qui me montait à la tête. Je reposa la tasse, au cas où.

- Hé bien laisse moi réfléchir... Hum... je suis bien occupé tout le temps. Et à vraie dire, le seul moment de répit que j'ai, je le passe ici, à cette heure là, chaque jour.

C’est vrais que moi aussi, mes seuls temps libre était ses moment là, des moments ou j’était seule avec mon instrument de musique et avec le paysage. Les autres moments j’étais sois en cour, soit avec mes amis et quand je dis ami je pense surtout a Draco. D’ailleurs ou était t’il ? Que faisait-il ? Avec qui parlait-il ? Est qu’il pensait à moi en ce moment ? Bon, arrêtons de se poser toute ses questions, sinon sa vas aboutir a un mal de crane horrible comme je les connais si bien.

- Ohhh ! Je peux bien me priver pendant un petit moment de ma petite promenade !

Quoi, il serait prêt a se priver de ces promenades pour apprendre à jouer de la musique, il devait vraiment avoir envie de faire sa. Où il avait simplement envie de me faire plaisir en me laissant lui apprendre a joué d’un instrument.

- Cet horaire te convient-t-il Ayumie ?

- Il me convient parfaitement Professeur.

- C'est un endroit parfait pour jouer de la musique, ne trouves-tu pas Ayumie ? Oh bien entendu s'il fait trop froid nous nous installerons bien confortablement près d'une cheminée. Mais moi, je rêverais de faire voler mes notes de musiques au delà de ces montagnes ...

- Sinon, s’il fait mauvais temps je sais ou pourra aller, un endroit ou vous pourrez jouer de la musique tout ayant en vue les montagnes. Un endroit le soleil brillera tout le temps, mais pour l’instant je vous dit pas plus sa reste une surprise j’jusqu’a qu’il fasse mauvais temps.

Ayumie semblait connaitre un endroit parfait, je connaissais moi-même le château et ses alentour comme le fond de poche de ma robe, et jamais je n'avais pris connaissance de cet endroit particulier où e soleil brille sans cesse. Mais pour l'heure, puisqu'elle me demandais de ne pas lui poser plus de question, je laissa là mon interrogation. Comme je connaissais Ayumie il devait s'agir d'une surprise.

- Très bien Ayumie, nous commencerons la semaine prochaine si cela te convient. Nous n'auront qu'a nous voir à cet horaire là, 2 fois par semaines, le... mardi et le jeudi... Oui cela me semble raisonnable. Ainsi ni toi ni moi ne sacrifierons entièrement nos moments de détente.

Je fis une pause et étira mes lèvres en un large sourire. J'espérais que cela serai suffisant pour pouvoir apprendre l'art de la musique. mais en réalité ce n'était pas ce qui était le plus important, pour moi il était bien plus précieux de porter un instrument avec amour que de vraiment savoir en jouer. Même si cela est plus agréable pour les oreilles de chacun.

Quel bonheur dans ma poitrine à cet instant ! Bientôt je saurais jouer d'un instrument, et cette pensée m'emplissait de joie.

J'observais le grand astre doré, se rapprocher avec lourdeur des collines situées à la gauche du lac. Caché derrière un voile de brume, il diffusait une lumière moins éclatante et plus orangée.

- Il est l'heure Ayumie. Je m'appuya sur mes genoux pour me relever, mon postérieur était gelé par le marbre froid du banc, et mes articulation plus rouillées que jamais. Hagrid m'a demander de l'aide, sa cabane est infestée de Doxys Poussais-je dans un effort pour me relever.

Une fois debout, je rangea mes mains dans les poches de ma robe et me tourna vers Ayumie.
- J'attends ta convocation pour mardi prochain. Lui-dis avec un clin d'œil. Puis je tourna les talons pour emprunter le chemin qui menait au château. Un mouvement de baguette suffit à ce que le plateau me suive.

Invité

- Très bien Ayumie, nous commencerons la semaine prochaine si cela te convient. Nous n'auront qu'a nous voir à cet horaire là, 2 fois par semaines, le... mardi et le jeudi... Oui cela me semble raisonnable. Ainsi ni toi ni moi ne sacrifierons entièrement nos moments de détente.

- Le mardi et le jeudi ? C’est parfait, je vais noter ça sur mon agenda pour ne pas oublier.

Bien sur je le ferais tout a l’heure, j’allais enfin pouvoir marquer quelque sur cette agenda magique qui chantais une petite chanson le jour et à l’heure du rendez-vous pour me dire qu’il est l’heure. C’est ma mère qui me l’avais offert pour mes dix ans.

- Il est l'heure Ayumie. Hagrid m'a demander de l'aide, sa cabane est infestée de Doxys

Je regarda Dumbledore se relever, j’étais un peux déçue c’est donc la fin de conversation. J’avais tellement envie de continuer de bavarder avec lui, mais si ce n’était pour ne rien dire. Mais, bon je le reverrais bientôt pour lui donnait des cours a se chère professeur.

- J'attends ta convocation pour mardi prochain.

Je lui répondit en souriant, puis je le regarda s’éloignait avec le plateau qui le suivait comme un petit chien, en regardant cette scène je rigola. Puis je me leva du banc, pris l’étui dans mes bras pour me diriger tout en chantonnant vers les cachots pour voir si Draco se trouvait là-bas et voir se qu’il faisait.

FIN DU SUJET

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» Albus reçoit ses prefets
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» Le chant de la musique (Pv: Dumbledore)