Filius Flitwick

~ Nom ~: Flitwick

~ Prénom ~ : Filius

~ Âge ~ : très vieux (Environ 70 ans)

~ Baguette ~ : 20 cm, bois de charme, poil de licorne.

~ Miroir du Riséd ~ : Filius n’a jamais été confronté au Miroir du Riséd

~ Epouvantard ~ : Un énorme serpent.

~ Maison espérée ~: /

~ Profession ~ :Professeur de sortilèges et enchantements

~ Description physique ~ : Le professeur Flitwick est très certainement le plus petit de tout les professeurs ainsi que l’un des plus vieux. Il possède des traits de ressemblance avec les gobelins lui venant de ses ancêtres.

~ Caractère ~ : Le professeur Flitwick est quelqu’un de très gentil et doux avec ses élèves. De nature très optimiste il cherche toujours le meilleur coté d’une situation. C’est aussi quelqu’un qui laisse parler ses émotions en poussant de petits cris de sa voix très aiguë. Cependant il sait se montrer ferme et prendre des initiatives si un danger fait surface.

~ Passé du personnage ~ : D’après de nombreuses rumeurs le professeur Flitwick serait né un 17 octobre… Cependant personne ne connaît exactement son âge car il reste très discret la dessus. Dans sa jeunesse sa petite taille ne l' handicapa que peu car il montrait déjà une certaine aisance à pratiquer les enchantements. Les légendes de l’école racontent qu’il sortit même un jour champion d’un tournoi de duels sorciers et ne fut détrôné que très longtemps après. Après avoir obtenu ses ASPIC, Filius se vit proposer le poste de professeurs de sortilèges et Enchantement suite à ses notes Optimales en la matière. Il accepta et garda son poste jusqu’au aujourd’hui. Il a vu passer des générations de sorciers dans ses cours dont la très célèbre famille Potter, mais fréquente aussi depuis longtemps le directeur de Poudlard : Dumbledore. Filius s’entend aussi très bien avec tous les autres professeurs qu’il considère digne de confiance sans considérer la rivalité qui existe entre les directeurs de maison. C’est d’ailleurs suite a sa grande sagacité qu’il a été choisi par Dumbledore pour être le directeur de la maison Serdaigle dont les maitres mots sont la sagesse et l’intelligence.

~Partie RP ~ : Par un beau matin d’été, je me levai et me dirigeai vers mon premier cours de Sortilèges et Enchantements. Il montait à la fois en moi une appréhension et une grande euphorie. Pour la première fois j’allais utiliser ma baguette et apprendre mes premiers sortilèges. Le vieux professeur entra dans la salle et nous salua. Après quelques explications sur l’utilité et l’importance de sa matière pour les élèves de première année, il décida de tester le niveau de la classe en nous apprenant un sort basique : Le Wingardium Leviosa.


Pour effectuer ce sort correctement il suffisait d’agiter la baguette de manière circulaire puis de la rabaisser. La théorie me semblait très simple, cependant la pratique me le paraissait beaucoup moins. Le professeur nous appela un par un pour tenter de soulever une petite plume qu’il avait disposé sur un coussin. Les élèves défilèrent certains ne réussissant même pas prononcer la formule correctement, d’autre ne visant pas la plume mais plutôt le professeur lui-même. Cependant personne ne réussit a faire léviter la plume. Je vis passer par la fenêtre une magnifique chouette et c’est là que j’entendis mon nom. Ce fut un grand moment de bonheur et à la fois de peur, personne n’avais réussi le sortilège, j’espérais être le premier. Je saisis ma baguette et me postai devant le coussin. Je sentis l’adrénaline monter, je tendis la main devant moi et tout en effectuant le geste que nous avions appris je dis :


« Wingardium Leviosa ! »


La plume frémit mais ne lévita pas. Ce fut une grande déception, je venais de rater mon premier sort. Le professeur me demanda cependant de retenter, qu’il ne fallait pas abandonner si vite. Je ne me décourageai pas. Je réitérai le sortilège et dis avec conviction :


« Wingardium Leviosa ! »


La plume se leva de quelques centimètres avant de retomber rapidement. Je bouillis intérieurement. J’avais réussi ! Enfin presque … Cette réussite me paraissait comme un exploit. J’étais maintenant pour moi un sorcier, un vrai. Le professeur me renvoya à ma place après m’avoir encouragé à travailler le sort pour le maitriser parfaitement. Je regagnai ma place léger et heureux : je venais de réussir le premier sort, que j’espérais, d’une longue série d’autres.