Un diner plus que mouvementé (Un max de Serdaigles, mais tout le monde est le bienvenu)

Rien n'avait marché comme je l'avais prévu. J'entra à une vitesse démesurée dans la grande salle, ma cape volait derrière moi, et l'effet de la vitesse créait un vent léger qui repoussait mes cheveux en arrière. Arrivée à hauteur d'une place libre, je posa avec force mes livres sur la table, avant de faire glisser mon sac sur mon ventre pour m'asseoir sur le banc à côté de mes camarades.
- C'est impossible ! Impossible !
Je pensais tout haut sans m'en rendre compte tant j'étais à bout de nerf. Je souffla un coup en jetant ma baguette sur la pile de livre. Puis je jeta un coup d'œil énergique au repas qui s'étalait tout au long de la grande table. Je pesta :
- Encore des haricots en salade ! En réalité cela faisais longtemps que nous n'en avions pas eu au diner, mais j'avais juste envi de pester sur tout ce qui m'entourai. Je me leva a demi pour me servir une louche de haricots, mais ma manche se pris dans la couverture d'un de mes livres de cours, faisant s'effondrer la pile bouquins dans l'assiette de mon camarade de gauche. J'hurla contre les livres furieusement : Rhhoooo !!!! Ils étaient maintenant tout englués dans les haricots froids.
C'est alors que ma baguette roula en se dirigeant dangereusement vers le rebord de la table. Lorsque je frappa ma main sur la table pour tenter d'arrêter son mouvement, mon verre chuta et renversa l'eau qu'il contenait. je commençait à sérieusement croire que tout était contre moi. Je me décala rapidement sur le côté pour ne pas être mouillée par la flaque, qui s'égouttait maintenant sur le banc. Pendant ce temps, ma baguette tomba sur moi et roula le long de mes cuisses, avant de tomber au sol, sous la table. Tout ça se passa très vite, et même mes tentatives énergiques pour la rattraper avant sa chute étaient restées veines.

J'étais plus énervé encore maintenant que ma robe avait pris l'eau, que mes livres étaient gluants, et que ma baguette se trouvait quelque part sous la table. Je ferma les yeux en pensant très fort que ça n'était qu'un mauvais rêve, mais en les rouvrant j'eus la désagréable impression d'être maudite.

Je tâtais le sol avec mes pieds à la recherche de ma baguette, faisant de grands cercles et écrasant au passage quelques orteils. Impossible de mettre le pied dessus. Alors avec la plus mauvaise volonté je plongea sous la table, et tâtonna le sol à quatre pattes. Je mettais les mains dans des haricots tombés au sol, des miettes de pains, du liquide collant... J'avais envi de pleurer tellement c'était désagréable, mais je ne pouvais tout de même pas perdre ma baguette d'une façon aussi stupide. Je ne la voyais nul part.
Puis, je me rendis rapidement compte que c'était intéressant de visiter les dessous de table. L'un de mes camarades Serdaigle avait ses lacets noués entre eux, surement une mauvaise blague qui allait bientôt mal tourner pour lui, un autre avait le pantalon trop court, qui lui remontait au dessus des chevilles, un autre avait les pieds pris de tremblements nerveux, et plus loin deux élèves se faisaient du pied... Je failli en oublier pourquoi j'étais sous cette table. J'avais une vision des Serdaigles très différente de d'habitude, et très enrichissante. Comme quoi dans tout malheur il y a du bon.

Je me remis en marche, à la recherche de ma baguette, les yeux scrutant le sol de pierre, et toujours en posant les mains et les genoux sur des denrées non-identifiées. J'évoluais en me faufilant au milieu d'une population de pieds.

Invité

- Qu’elle magnifique lever de soleil

Je ne regretter pas du tout de m’être lever au aurore pour observer un lever de soleil. En regardant sa, je me dit que rien n’était plus beau que sa, même la magie ne pouvais faire quelque chose d’aussi. Bien sur pour apprécier ce moment le mieux c’est d’être à deux, quand je dit à deux je veux dire avec son petit ami. Par malheureux je n’en avait pas, alors je devait me contenter de Yuki, mon iguane. Enfin, c’était mieux que rien. Quand le soleil fut complètement lever, je m’étira, bailla puis décida d’aller déjeuner avec mon iguane sur mon épaule. Arriver dans la grande salle, j’aperçut quelques une de mes amies, je m’assit a coter d’elle en disant.

- Bonne appétit

Si un jour on m’avait dit que je me retrouvais tout la table des Serdaigles, j’aurais surement rigolé mais là se n’était pas pour me cachait de quelqu’un, ni même parce que j’avais fait quelque chose. Non parce que je mangeais quelque chose avait heurté, pas comme ci on m’avait donné un coup de pied ou qu’on m’est lancé, comme des Serpentards prêt a faire pour rigoler comme il dise. J’avais donc glisser, facilement, sous la Table des Serdaigles, c’est là que je trouva une baguette magique. Sur le coup j’ai crue que c’était un attrape nigaud, comme j’avais déjà vue, on croit que c’est une baguette mais enfaite un objet débile qui a prit son apparence. Mais quand je là pris dans ma main, elle resta une baguette magique, je fut il est vrais très surprit. Soudain je tomba nez a nez avec une Serdaigles, c’était surement elle qui avait perdu sa baguette et que maintenant elle le rechercher sous la table des Serdaigles. C’est là que je lui tendis la baguette en lui disant.

- Tu cherche sa ?

Je lui donna sa baguette, puis je retourna m’asseoir à ma place mais bien sur je l’aida à refaire surface. Comme même je n’aller pas la laisser comme ça sous la table comme une cruche. Quand on était enfin assis tout les deux sur le banc, je décida de commencer les présentations.

- Je suis Rose Simpnie.

Soudain je sentit, des petite pattes crochus parcourir mon dos, c’était mon iguane, je l’avait complètement oublier. Je le prit dans mes bras, le posa sur la table, puis me tourna vers la jeune fille en souriant.

- Lui c’est Yuki, mon iguane. Et toi quel est ton nom ?

- Tu cherches sa ?

Je regarda la fille un moment. D'où elle sortait elle ?! Je n'étais donc pas seule à explorer les dessous de la table Serdaigle ?
Je repris ma baguette tout en observant la fille. Elle s'extirpa du dessous de la table, et m'aida à refaire surface. J'étais encore sous le choc de ma mauvaise expérience de la matinée. Et j'étais surprise de voire quelqu'un que je ne connaissait pas s'adresser à moi avec le sourire, alors que j'avais été désagréable avec tout le monde jusqu'ici. je m'installa à côté d'elle, sans dire un mot.

- Je suis Rose Simpnie. me dit-elle

Je lui répondit timidement :

- Moi c'est PadmaaAAAAAAAAAAAH ! Des pâtes crochues venaient de se planter dans son épaule, et j'avais hurlé en sautant du banc. Toute la salle commune se tue d'un coup !

Je ne compris pas tout de suite, la réaction de Rose, elle avait juste sourit et avait pris la créature dans ses bras avec beaucoup de tendresse. C'est là que je compris que c'était son animal. Elle me le confirma en me présentant la créature.
Heureusement que je n'avait pas envoyer valser l'iguane avec un sortilège !
J'avais bien honte de moi... et décidément cette journée s'annonçait catastrophique. Je regarda autour de moi, j'avais les joues brulantes de honte, tout le monde me regardait l'air de dire "pfff complètement timbrée celle-là !" Le professeur Dumbledore s'était levé, alarmé par mon cri. j'aurais voulu retourner sous la table. Je baissa la tête et répondit à Rose en boudant à moitier.

- Je suis Padma Patil, et je suis maudite.

Invité

- Moi c'est PadmaaAAAAAAAAAAAH !

Je regardai Padma criait et sauter sur le bac, j’espère qu’elle n’avait pas eut trop peur, j’attrapai mon iguane le posant sur mon épaules, là j’étais sur qu’il ne ferait pas de bêtises. Tout le monde la regardait bizarrement, il fallait trouver quelque chose pour détendre l’atmosphère.

- Je suis Padma Patil, et je suis maudite.

- Maudite ?

Les regards étaient vers elle, la pauvre, je jetai un coup d’œil a la table des Serpentard, il avait l’air de bien rigoler, l’un d’eux était debout avait l’air de bientôt partir. Sortant légèrement ma baguette, je la pointai sur cette élève en murmurant, doucement pour que même Padma ne l’entende pas

- Bloque jambes

L’élèves qui voulu partir, se retrouva les deux jambes le faisant tomber en avant comme une vielle patate. Les élèves se mirent à rire, sauf les Serpentard enfin quelques un de première et de deuxième se retournaient pour rire tranquillement. Tout le monde avait l’air d’avoir oublié se qui venait de se passer. Je me retournais vers ma nouvelle amie.

- Il suffit juste de trouver le bon contre sort pour cette malédiction. D’abord, il faut bien manger en oubliant tous ces problèmes.

J’avançai vers Padma de petits pains, du jus d’orange, des fruits, du chocolat, … Tout en lui souriant, je voulais l’aider et le meilleur moyen selon mes pères c’est un bon petit déjeuner plein de vitamines. C’est pour sa que des fois on pouvait me voir des heures dans la grande salle à manger, et malgré sa je ne grossissais pas.

Cette fille était vraiment adorable. De me supporter alors que j'étais en pleine de crise de nerfs, et à deux doigts de tout casser autour de moi, il fallait vraiment qu'elle soit douce et posée pour tenter de me calmer.
Elle me préconisait comme contre sort de me calmer, et de prendre un bon déjeuner.
Elle avait raison, j'avais toujours eu cette logique, de prendre les problèmes à la base pour étudier leur contre sort. Ce qu'elle me disait était évident, c'était aussi ma façon de réfléchir. mais dans l'état où j'étais, je n'arrivais plus à réfléchir. Préférant aller à la facilité en me disant que c'était un coup du sort, qui s'acharnait sur moi depuis mon réveil.

Elle me tendis de petits pains, du jus d’orange, des fruits et du chocolat en me souriant comme le faisait ma maman lorsque j'allais mal. J'avais maintenant envi de pleurer, pourquoi les gens étaient si gentils avec moi alors que j'étais odieuse. Je sentais que j'étais à fleur de peau, je lui adressa un sourire mais fondit en larme en portant une petit main à ma bouche.

- Merciiiiiiii pleurais-je d'une voix trop aigüe.

Je me rendais compte que c'était pitoyable, mais je me sentais vraiment déprimée, sans vraiment savoir pourquoi. J'étais prise de petits hoquets mais j'étais bien décidée à me livrer entièrement aux bons soins de Rose. Je pris le gobelet de jus d'orange qu'elle me tendait et le porta en tremblant jusqu'à mes lèvres. Mais un petit hoquet le fit se renverser en partie sur ma robe. Je fondis en larme de nouveau, en noyant mon visage dans ma main libre.

- hiiiiiiiiiiii

Mes yeux étaient noyés de larmes, je ne distinguait que des formes floues, et celle de Rose dont je ne pouvais voir la réaction. Je me moucha d'un revers de manche en me tournant vers elle et lui dis en tentant reprendre mon calme.

- Je t'assure que je suis maudite. j'inspirai profondément pour reprendre mon sérieux, mais rien n'y faisais, c'était comme si je ne pouvais rien faire d'autre, je devais pleurer. Je devais lui expliquer d'où venait mon tourment, j'avais besoin de savoir si oui ou non j'étais maudite, je ne voulais pas qu'elle crois que j'étais une fille faible, car cela était faux. Toujours prise de hoquets je continua d'une voix qui se faisait de plus en plus aigüe au fil des mots.

- Depuis ce matin, le sort s'acharne sur moiiiiiii. D'ab... d'abord je me cogne l'orteil sur le pied de mon lit, puis je glisse dans les escaliers, après... arrivée en bas... je m'aperçois qu'il me manque la fiole de potion que je devais préparer pour le cours de Rogue, et quand je retourne dans le dortoir je trouve ma potion complètement ratéeééééééééééé. Je me mis à pleurer à chaudes larmes, comme si ma vie et celle de mes proches en dépendaient. J'ouvris de grands yeux et agrippa le col de Rose fermement. Et je dis gravement.

- Je n'en rate jamais !

**Messages** : 46

(c'est le diner ou le petit déjeuner? Apparemment c'est devenu un petit dej, faites gaffe please)

Je me trouvais dans la grande salle en train de prendre le petit déjeuner, assis entre Minerva et le Professeur Chourave. Etant mal réveillé je buvais mon café-guimauve sans parler à personne. Une journée comme les autres commençait...

A ma droite Chourave était en grande discussion avec l'énorme Hagrid tandis que Minerva parlait avec animation avec Le Professeur Flitwick.
D'humeur maussade, je regardais les autres professeurs: certains étaient plongés dans une torpeur laissant penser qu'ils venaient de sortir du lit et mangeaient en silence, d'autres lisaient le journal, d'autres encore comme Albus et Madame Maxime discutaient tranquillement.

Tout à coup, un cri se fit entendre, ce qui stoppa toutes les conversations. Tous les regards convergeaient à la table des Serdaigles, c'était la jeune Patil qui venait de crier.
Alarmé, Dumbledore s'était même levé, mais en voyant que rien de grave ne s'était passé il se rassit, et tout le monde commençait petit à petit à reprendre leur conversation.

Sauf moi. Je continuais à observer la grande salle, et tout à coup je vis un Serpentard tomber à terre, les jambes collées. Pas de doute, on venait de lui lancer un sort.

Potter!!! Je regardais à leur table mais à ma grande déception celui ci était en train de fanfaronner entouré de son groupe.
Mon regard se reporta d'instinct vers Patil qui venait de se faire remarquer et l'amie avec qui elle était en train de bavarder. Je jurais que une seconde avant elles étaient en train de regarder avec un air mauvais vers la table des Serpentards. Pas de doute, la certitude que c'étaient elles les coupables s'imposa à moi.

Aucun autre professeur ne semblait avoir remarqué ce qui s'était passé, je fus donc le seul à me lever et me mit à marcher vers elles. En passant près de la table des Serpentards, je fis un Finite incantatem vers l'élève à terre et continuais ma route.

Absorbées dans leur discussion et arrivant dans leur dos, les 2 filles étaient les seules Serdaigles qui ne m'avaient pas vu approcher.
Arrivé à leur hauteur je remarquais avec étonnement que la jeune Patil était en train de faire une véritable crise de nerf. Je dis d'une voix forte, qui les fit sursauter:

"Pourrais-je savoir laquelle de vous deux à lancé un sort de bloque-jambe sur un de mes élèves, jeunes filles..." puis voyant Patil agrippée au col de son amie:
"... et pourquoi vous êtes en train d'agresser votre camarade, Miss Patil?"
La deuxième partie de cette phrase prononcée malgré moi d'un ton moins sévère que la première, à cause de la surprise que cela m'inspirait.

Je les dominais de toute ma hauteur, et les dévisageaient avec un regard noir.

Invité

(hj: c'est un diner petit déjeuner XD Desoler je crois que c'est de ma faute.)

- Merciiiiiiii

- Mais c’est tout naturel

- hiiiiiiiiiiii

- Ne pleure pas. Lui dit-je en lui tendant un mouchoir

- Je t'assure que je suis maudite.

- Mais, non tu n’es pas maudite. Il n’y a que les gens qui se dise sa, qui sont maudits. C’est surement un Serpentard qui t’a lancé un sort. Et puis il faut se dire que la journée, n’est pas finit, si sa se trouve tout ira mieux se soir. Et peut être que tu riras, en repensant à ta journée.

- Depuis ce matin, le sort s'acharne sur moiiiiiii. D'ab... d'abord je me cogne l'orteil sur le pied de mon lit, puis je glisse dans les escaliers, après... arrivée en bas... je m'aperçois qu'il me manque la fiole de potion que je devais préparer pour le cours de Rogue, et quand je retourne dans le dortoir je trouve ma potion complètement ratéeééééééééééé.

- J’ai une excellente potion pour ce qui est douleurs, si tu a encore mal à pied. Et puis les escaliers ont surement reçue un sortilège sa serait bien le coup de peeves. Et puis pour la potion, je peux t’aider à le refaire.

- Je n'en rate jamais !

Pauvre Padma, il faut que je trouve quelque chose de réconfortant a lui dire, mais avant que je puisse dire quoi que se soit, une voix se fit entendre.

"Pourrais-je savoir laquelle de vous deux à lancé un sort de bloque-jambe sur un de mes élèves, jeunes filles..." "... et pourquoi vous êtes en train d'agresser votre camarade, Miss Patil?"

Je sursautai sur place, heureusement je m’agrippai à la table pour ne pas tomber, pas besoin de se retourner pour savoir à qui appartient cette douce voix de terreur. Le professeur Rogue, toujours là quand il ne faut pas, pauvre Padma elle va dire que c’est a cause de sa malédiction que tout sa arrive. Je me retournais doucement vers le professeur Rogue.

- Professeur, pour commencer c’est moi qui ai lancé un sort et après Padma me faisait juste un câlin.

Moi quand j’ai fait quelque chose, j’en assume les conséquences, vous croyez qu’il me fait peur, mais si c’est vrais qu’il fait un peux en nous regardant comme ça de toute sa hauteur. Mais je ne vais comme même pas laissé mon amie payer les pots casser à ma place, la pauvre elle a déjà assez avec cette histoire de malédiction et voila l’autre qui vient ramener sa fraise. Je me levai, je n’allais comme même ne pas rester là assis comme une fourmi, même si je n’étais pas aussi grande que Rogue, c’était déjà. C’était comme si je lui disais ‘‘Alors qu’est tu vas me répondre’’

J'étais déjà en train de me liquéfier lorsque la voix la plus grinçantes que je connaisse retenti derrière moi. Je crois que mon teint halé vira au blanc pâle, ma respiration se bloqua, je n'osa plus bouger un cil. Je desserra mes doigts sur le col de rose, et me tourna pour tenter de sourire au professeur en étirant mes lèvres. Mais ce que je fis devait plus ressembler à une grimace.

Il ne manquais plus que le professeur Rogue arrive pour ajouter à mon malheur une touche de cruauté. Tout aurai pu se passer très vite, mais Rose se leva et fit face au professeur. J'étais tétanisée en la voyant l'agresser comme ça. Je hurlais dans ma tête : NON Rose ! Arrête ! mais évidemment elle n'entendait pas, et pire elle continuait. C'était une bonne attention de vouloir me couvrir mais elle aurait dû me laisser dans mon désarrois, car en agissant comme elle le faisait, elle empirait la situation. Ne savait-elle pas que le professeur Rogue était sans pitié ?

Je ne voyais pas comment son histoire de câlin pouvait tenir la route, alors que je l'avais presque soulevé du banc en l'agrippant par le col. Elle aurait mieux fait de dire la vérité, mais ma potion... je ne pouvais pas avouer au professeur que ma potion était ratée !!!

- Excusez-nous professeur. Je me suis emportée... oui c'est ça... un élan d'amitié ma conduite à la saisir comme ça, j'imitai alors la façon dont je l'avais attrapée, mais je vous assure professeur, cela ne cache rien... rien du tout... professeur.

A mon sourire toujours crispé, j'ajoutai un regard pittoresque en rapetissant mes yeux comme ceux d'un chien battu. Je n'étais pas certaine d'avoir été très convaincante, peut être même m'étais-je enfoncé dans les abimes du désespoir. Je me doutais bien étant donné la malédiction dont j'étais victime, que Rogue ne nous laisserai pas nous en sortir aussi facilement, il était de nature suspicieux, et même s'il retournais s'assoir, il garderai un œil sur nous.

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